Je n'aurais jamais du pousser la porte,
Mon souffle s'estompe
Pétrifié, mes yeux ne peuvent y croire,
Réveille toi, ce n'es qu'un mauvais rêve,
Derrière cette porte un corps perdu
Ce drap lui serrant à la gorge
Tout est devenu alors si sombre,
Lui, les jambes flottant dans le vide,
Je n'aurai pu pensé que sa se termine ainsi
J'aimerai respiré à nouveaux,
Sa mort en ma mémoire,
Adieu, toi, mon ami.
Les genou sur le sol,
Mes mains à porté de son visage pour voiler le drame
Oublier, les flash de la nuit,
Même dans mon sommeil, ces images me reviennent
Mes yeux sont si noir lorsque je me regarde dans le miroir,
J'aimerai respiré à nouveaux,
Sa mort en ma mémoire,
Adieu, toi, mon ami.
J'aurais pu éviter le drame,
J'aurais pu éviter le drame,
Que la lumière te soit douce.